Buenos Aires, un faux air de Paris ?


Buenos Aires, capitale de l’Argentine, est aussi la plus grande métropole cosmopolite du pays. Aussi, probablement la capitale la plus européenne d’Amérique du Sud, Buenos Aires possède une forte empreinte architecturale française qui s’étend notamment au design urbain, à l’aménagement paysager et à la décoration d’intérieur. Pas étonnant que celle-ci soit surnommée comme étant « le Paris d’Amérique du Sud ».


Le saviez-vous ? Si à l’origine la population indigène peuplait l’Argentine, après l’abolition de l’esclavage, la population noire disparue et la population indienne fut exterminée. Au même moment, en 1810, l’Argentine obtint son indépendance qui entraîna une vague massive d’immigration en provenance des pays européens.

La gastronomie : Les argentins sont des « mange tard ». Fières de leurs produits, ceux-ci consomment en grande quantité leur viande, qui s’avère être d’une tendreté exceptionnelle ! Leur fameuse sauce locale nommée « Chimichurri », à base de tomates, d’huile d’olive, d’origan, de thym, de laurier, de piment, de persil, d’ail et de d’autres épices grillades, tient son origine des Ecossais venus s’installer en Patagonie.

Aussi, véritables emblèmes du pays, les empanadas sont une sorte de chausson fourré à l’intérieur. Cuits principalement au feu de bois, ceux-ci sont un immanquable ici.

Enfin, il est courant de voir ces fines tranches de veaux plongées dans un mélange d’œufs battus puis passées dans de la chapelure pour qu’elles soient frites ou cuites au four. Ce sont les fameuses « Milanesa » !

La gastronomie argentine comporte bien d’autres mets délicieux, venez vite les découvrir !


Nous sommes arrivés à Buenos Aires via notre bus de nuit ce 25 novembre 2019 un peu avant 10 heures. La nuit a été longue, interminable même. Il a plu la majeure partie de la nuit, le vent qui a soufflé a été d’une extrême violence et surtout, notre « sommeil » a été rythmé par le bruit assourdissant des éclairs.

Le pied posé sur le sol de cette ville dite la plus européenne d’Amérique du Sud, nous partons prendre un café matinal chez Starbucks coffee. Étonnant pour un pays d’Amérique latine ? Non, pas réellement en fait. La ville a un côté très américain que nous remarquons avec ses nombreux Starbucks bien sûr, mais aussi ses McDonalds, ses Burger Kings, ses KFC, ses Subway... et bien d’autres. Autant dire que les fast food, ce n’est pas ce qui manque ici !

Un peu après midi, nous repartons, sac sur le dos, en direction d’un endroit où manger. Nous tombons nez à nez devant un restaurant proposant un menu : plat, boisson, dessert pour 300$ argentins. Bien sûr, nous nous régalons et mangeons plus que ce qu’il nous fallait.


C’est ainsi qu’après une discussion très intéressante avec une professeure en faculté et son petit garçon, nous rejoignons notre Air BnB situé rue « Jean Jaurès », à quelques mètres de nombreux petits commerces, et notamment d’un Starbucks, dans l’une des rues les plus vivantes de la ville. 

Notre sac enfin déposé, nous prenons notre linge sale et l’emmenons non loin, dans une petite laverie. Pour 140$ argentins, nous y retournerons sans hésiter en fin de semaine afin d’avoir un maximum de linge propre pour notre prochaine destination !

En attendant, nous partons acheter quelques fruits et légumes dans une petite boutique locale vraiment pas chère. 1 brocolis, 2 bottes d’épinards, 2 kg d’oranges, 15 œufs, 3 avocats, le tout pour moins de 5€ !


26 novembre 2019

Ce matin, nous nous préparons un bon petit déjeuner à l’appartement, c’est important pour tenir la journée !


Nous nous rendons, ensuite, chez le dentiste le plus proche : « Prestaciones Odontologicas Buenos Aires ». Ici, nous arrivons aussi facilement que pour les précédents dentistes à avoir un rendez-vous ! La femme au comptoir nous indique de patienter sur les sièges derrières nous et d’attendre qu’un spécialiste vienne nous chercher, ce que nous faisons. Lorsqu’on entendant le mot « Luis » résonner au fond du couloir. C’est à nous, c’est parti ! L’homme a une trentaine d’années, il est dynamique et surtout très amical. Celui-ci parle plutôt bien anglais et quelques mots simple de français. Après avoir regardé les dents de Louis, il affirme la présence de quelques autres caries à soigner. Cependant, elles pourront attendre notre retour en France. Quel soulagement ! Pour Jenn, il y a aussi une petite carie qui traîne... mais elle attendra largement notre retour. Le docteur prescrit une radiographie à Louis pour demain, nous payons la consultation de 260$ argentins et partons à la recherche d’un coiffeur ! Nous nous arrêtons au salon « Romantica » situé « Avenue Rivadavia » afin d’avoir leurs tarifs. Ici, pour une coupe et une couleur, il nous faudra débourser 2 300$ argentins, 34,50€. Après un repérage des autres tarifs, ce salon semble être le plus sympa et le plus raisonnable en terme de tarifs. À réfléchir !

Il est bientôt midi. Nous arrivons devant une zone commerciale spécialisée dans l’univers du piercing/tatouage.


Curieux, nous arrêtons chez « American Tattoo ». Louis a une idée en tête depuis quelques jours. Il expose ainsi son envie de tatouage et... 15 minutes plus tard, le voici assis, prêt à se faire tatouer ! Vous y croyez vous ? 4 000$ argentins pour ce motif noir et blanc, soit 60€.

Un super tatouage et surtout un super tatoueur ! Merci à lui.


Le bras un peu gonflé, Louis repart heureux. Un de plus ! Nous rejoignons le salon de coiffure pour Jenn. Nous entrons, demandons s’il y a possibilité pour cet après-midi, et aussi surprenant que ça puisse paraître, le patron du salon acquiesce et demande à une jeune apprentie de s’occuper d’elle. Le sourire aux lèvres, Jenn s’assoit sur le fauteuil blanc, prête pour ce moment tant attendu. L'idée est d’éclaircir légèrement, notamment au niveau des repousses. Aussi, Jenn demande une petite coupe des pointes devenues cassantes ! Merci soleil cuisant.


C’est après près de 3 heures de travail que nous sortons du salon, pour la modique somme de 2 300$ argentins, soit moins de 40€ ! Le petit plus est que les coiffeurs ici ont été adorables et très professionnels. 


Quartier « La Boca »

27 novembre 2019

Aujourd’hui, nous partons en direction du quartier « La Boca ». Célèbre par son imposant stade « La Bombonera », le quartier est devenu un lieu touristique où l’on peut assister à des représentations de Tango.

Mais avant d’y arriver, il va nous falloir un petit moment. En effet, à pied, il nous faudra une grosse heure de marche. À quelques minutes du quartier, nous nous apercevons qu’il est déjà l’heure de manger. Nous nous laissons tenter par le menu du jour du restaurant « Bar natural ». Une assiette de spaghettis sauce champignons, un grand verre de jus de pamplemousse et un dessert, une tarte au citron. Nous nous partageons ce menu plutôt copieux, au prix de 349$ argentins.


Le petit point négatif en Argentine, c’est qu’il ne faut pas être pressé. Le service n’est pas toujours très dynamique et surtout, il faut quelques fois aller demander son dessert directement au comptoir ! Si nous avions déjà vécu l’expérience à Salta à attendre plus d’une demi heure notre dessert, ici, même chose, nous avons dû demander (pour ne pas dire réclamer) notre dessert compris dans notre menu.


Nous nous remettons en chemin et arrivons derrière le stade.


Nous prenons la route à notre droite et rejoignons les célèbres habitations colorées du quartier.


Ballons, maillots de foot, écharpes, figurines diverses (dont celle du Pape actuel qui est argentin) et autres souvenirs et gadgets en tout genre vous trouverez !

Pourtant, s’il est vrai que le quartier est très touristique, il est agréable de s’y promener et éventuellement, pourquoi pas, de se poser à l’extérieur prendre une boisson fraîche devant un show de Tango. C’est ce que proposent les bars que nous croisons.


Enfin, malgré le monde présent dans ces ruelles, nous avons apprécié l’atmosphère et notamment le grand parc de verdure se trouvant non loin.


28 novembre 2019 - 4ème jeudi du mois

Thanksgiving est une fête célébrée aux Etats-Unis, le quatrième jeudi du mois de novembre, en guise de remerciement aux Indigènes pour l’aide apportée lors d’une période difficile de famine.


Pour la préparation du festin, nous commençons par aller au magasin d’alimentation « Coto » afin d’y prendre quelques légumes, des épices mais aussi et surtout la volaille, typiquement traditionnelle. Nos aliments dans le caddie, nous partons pour le centre commercial juste à côté afin de nous trouver une tenue simple, pas trop chère, pour notre tout premier cours de Tango demain matin. En effet, la veille, nous avons échangé quelques mails avec une école de Tango proposant des cours particuliers pour 3 000$ argentins. Nous avons donc rendez-vous demain à 10 heures, et nous avons hâte ! En attendant, nous rentrons à l’appartement préparer le repas de Thanksgiving, culture certes Américaine, mais qui nous tient vraiment à cœur.


29 novembre 2019

Ce matin, avant 10 heures, nous rejoignons « l’Avenue Corrientes » pour notre tout premier cours de Tango. La femme qui nous accueille parle français pour notre plus grand soulagement. Celle-ci commence par nous faire part de l’ambiance générale que dégagent les mélodies. Questions existentielles, mais pas que, nous sommes tout de même sur un thème dramatique. Notre professeure nous dévoile les premiers pas. Des pas simple au fond, mais il est tout de même nécessaire d’avoir une bonne coordination avec son partenaire ! Après une heure d’échanges et d’exercices, nous rentrons, prêts à reproduire ces pas afin de bien les mémoriser. Nous avons ainsi passé un moment inoubliable.


30 novembre 2019

Aujourd’hui, nous commençons notre journée par nos impératifs administratifs : visa pour l’entrée en Australie, billet d’avion pour l’Asie...

L’après-midi, nous partons en direction des quartiers « El Centro » et « San Telmo ». Nous commençons par emprunter « l’avenue Corrientes » où nous nous arrêtons toutes les deux minutes afin d’explorer les nombreux magasins de livres de seconde main. Jusqu’à ce que nous rejoignons l’obélisque sur la place de la république. 


Nous empruntons ensuite les rues touristiques bondées de petits commerces en tout genre. Restaurants, bars, boutiques de vêtements, bureaux de changes ou encore agences touristiques, il n’y a finalement rien de culturel ici. Nous arrivons ensuite devant notamment « El Cabildo » et « La Catedral ».


Bientôt, nous atteignons « San Telmo » et son grand mercado.


Nous traversons les quelques rues et remontons en direction des docks.


Ici, nous prenons un café frappé mocha chocolat blanc devant cet endroit qui nous ferait presque penser à Butler’s wharf Pier à Londres, le long de la Tamise. Un endroit super !


Un peu plus loin, nous tombons sur un couple dansant le tango le long d’une petite allée de dalles rouges.


Nous nous retrouvons finalement à monter des marches, les « Stairs Paseo del Bajo » nous amenants sur une grande et magnifique place.


En poursuivant notre route, nous nous rendons compte à quel point cette ville est verte et agréable. Bruyante, toutefois, mais nous nous y sentons bien. Les nombreux arbres aux petites fleurs violettes et le charme inévitable de l’architecture à la française donnent un côté romantique à Buenos Aires. La ville abrite aussi divers autres styles de bâtiments tels que les édifices coloniaux, où encore ceux à l’architecture plutôt éclectique...


Nous rentrons enfin en début de soirée, après avoir parcourus un peu plus de 15 km. Encore une bonne journée de marche !


1er décembre 2019

Le mois de décembre commence tout juste, l’année est passée si vite. Moins de 5 mois avant notre retour en France ! Aujourd’hui, nous nous laissons la journée à profiter du soleil sur la terrasse. Un peu d’exercice physique grâce à nos élastiques spéciaux, quelques recherches sur nos destinations futures, un peu de repos, et nous voici prêts à affronter le mois de décembre !


Le lendemain, après un rangement complet de notre Air BnB, nous partons en direction du quartier « Recoleta » afin d’y rejoindre l’auberge de jeunesse « Voyage Recoleta Hostel » où nous passerons notre toute dernière nuit avant le grand départ. L’après-midi, nous partons manger dans un établissement style buffet où les 100g coûtent 28$ argentins. Ce n’est vraiment pas cher ! Nous rejoignons le jardin botanique, malheureusement fermé aujourd’hui, puis rentrons tranquillement, s’arrêtant dès que l’envie nous prenait.


Un petit « café latte helado », un café au lait froid, dans l’un des nombreux Starbucks, et nous arrivons déjà à l’Hostel, en fin d’après-midi. Nous espérons passer une bonne nuit ici !


3 décembre 2019

La nuit a été longue, bruyante et glaciale... 

Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire que notre sommeil a été réparateur. Nous descendons nos affaires, prenons un thé (à disposition gratuitement) et partons à l’extérieur pour notre tout dernier petit déjeuner en Amérique Latine. Nous marchons en direction de la sublime librairie « El Grand Splendid ». Avant de nous arrêter manger, nous nous laissons porter par le charme indéniable de cette librairie à l’ancienne. 


À deux pas d’ici, nous entrons dans un restaurant, le « Alamos » où nous prenons une napolitaine (une sorte de milanesa avec du fromage et de la sauce tomate) et une bière blonde. Un menu loin d’être light, mais qui fait du bien aux papilles.


Nous nous rendons maintenant au « Correo », une agence postale sur notre route. Ici, nous envoyons 3 cartes postales pour 750$ argentins, cartes incluses. Nous reprenons finalement notre chemin, nous arrêtant au Subway (métro) afin d’acheter une carte de bus pour rejoindre l’aéroport ce soir. Pour ça il nous faudra finalement revenir plus tard, aucun paiement possible par carte bancaire. Puis, nous rejoignons le parc botanique.


Malheureusement pour nous, aujourd’hui, tous les parcs de la ville sont exceptionnellement fermés. Nous repartons alors en direction du quartier « Recoleta » et notamment devant cette sublime fleur mobile métallique « Floralis Generica », une œuvre d’Eduardo Catalano, un architecte Argentin. Créée en 2002, celle-ci ferme ses pétales chaque soir au coucher du soleil et les rouvre le lendemain matin.


De retour à hostel, nous récupérons nos affaires, sortons l’imperméable (le temps dehors est couvert) et repartons, après avoir fait un échange $US contre du $Argentins avec un français originaire de Marseille. Lorsque nous arrivons au Subway (métro) le plus proche, nous y achetons notre carte pour 90$ argentins et y déposons 60$ argentins. Sur la « Plaza de Mayo », il nous faut maintenant trouver la ligne de bus 8. En marchant, nous trouvons une file d’attente gigantesque. C’est bien ici ! Nous n’attendons pas bien longtemps. Le bus numéro 8 arrive déjà. Nous montons à l’intérieur et présentons notre carte. Le prix est de 40$ argentins par personne. Par conséquence, celle-ci ne passera pas pour nous deux. Nous tentons tout de même. Étonnement, la carte passe sans aucun problème. Celle-ci indique simplement un crédit équivalent aux 0,20$ argentins manquants. Nous sommes sauvés !

À l’aéroport, il nous faut désormais savoir où aller. Au guichet des départs, nous demandons à un homme à quel terminal se situe notre prochain vol. Ce dernier, surpris, nous annonce que notre vol est parti hier. Nous restons sans voix. Il doit y avoir une erreur. Après vérification, l’homme disait juste. Nous sommes en retard d’un jour... Qu’elle horreur ! Comment est-ce possible ? Ce vol programmé depuis maintenant quelques mois... c’est le choc le plus total. Désespérés, nous restons plus loin à réfléchir à une solution. Dans la soirée, après avoir prévenus nos proches, nous montons à l’étage du terminal A et y déposons nos affaires. Nous y serons bien cette nuit, sur ce sol en moquette. À 2 heures du matin, avec l‘ambiance musicale de cet aéroport, pas étonnant que nous soyons encore éveillés. Puisque c’est ainsi, autant profiter des essaies de chorégraphie d’un couple de danseur, accrochés au plafond du bâtiment. Une représentation pour les fêtes de fin d’année peut être ? Nous observons ainsi ces êtres dans les aires pendant un petit moment avant de finalement nous endormir.


Nous sommes réveillés avant 7 heures par la lumière vive du soleil. Une décision doit être prise, nous le savons. Nous tombons finalement en accord sur la ville de Séoul, en Corée du Sud. Le billet nous coûterait 613€ par personne (au lieu de 1 500€ par personne pour Sydney, en Australie). Ensuite nous rejoindrions Sydney pour Noël et le premier de l’an comme prévu pour environs 250€ par personne. Ces deux vols cumulés, nous réussissons à trouver un bon compromis entre les finances et le souhait d’être à Sydney pour les fêtes.

Il est annoncé des températures négatives à Séoul. Pourtant, nous sommes heureux de partir à la découverte de la culture Coréenne !

Notre vol est à 16h40. Nous avons tout le temps nécessaire devant nous. Recharge des électroniques, repos... nous ne pouvons qu’être en avance !

Arrivés au sas d’embarquement, après nous être commandés un petit quelque chose à Starbucks, nous nous asseyons plus loin sur l’un des nombreux postes où se trouvent des prises de recharge.


Toujours en avance, nous commençons à rejoindre nos places dans cet avion confortable. Moins de 3 heures de vol plus tard, nous nous arrêtons comme prévu à Sao Paulo, au Brésil.


Nous repassons par le sas de contrôle de nos bagages avant de pouvoir retrouver celui des embarcations. Ne sachant pas si le repas de ce soir est inclus dans notre vol suivant, nous nous laissons tenter par la chaîne de restauration rapide « Pizza Hut » pour 80$ brésilien, soit 17,50€, nous avons accès à un buffet à volonté de pizzas, salades, carottes, pains à la méditerranéenne...


Nous passons ensuite devant la célèbre marque de cosmétique professionnelle M.A.C. Ici, les tarifs sont bien inférieurs. En effet, sans aucune taxe et avec une remise exceptionnelle de 30%, Jenn craque sur une poudre minérale M.A.C. à moins de 28€.

Il est l’heure de repartir. Nous montons dans un bel avion spacieux où nous attendent un casque audio, une petite couverture et des écrans intégrées aux sièges. Le bonheur ! Nous nous installons confortablement et c’est le décollage. Plus tard, lorsque l’on vient nous apporter notre dîner, autant dire qu’il ne nous reste pas beaucoup de place libre dans le ventre. Nous mangeons le plat principal et laissons les petites gourmandises pour le lendemain. Les lumières s’éteignent, il est l’heure de dormir, il est tard.


Nous sommes réveillés le lendemain matin par une voix au micro. Nous n’avons bien sûr pas compris un traitre mot de ce que cet homme a dit. Les plateaux repas matinaux arrivent : croissant au jambon, yaourt, fruits aux sirop, muffin, café (ou thé) et boisson type jus de fruits. Nous atterrissons finalement vers 17h15 à Tel Aviv, Israël.


Ici, il nous faut récupérer nos bagages. L’angoisse monte lorsque nous apercevons les bagages de tout le monde sortir, sauf les nôtres. Inquiets, nous partons nous renseigner. En cherchants au niveau des bagages perdus, nous sommes redirigés vers un espace spécial pour les bagages comme les nôtres : des sacs ou des valises à la taille et au format « différent ». Après recherche minutieuse, nous les retrouvons. Ouf, quelle peur ! Maintenant, nous allons devoir passer une succession de portiques métalliques et de guichets pour enfin atteindre la zone d’embarquement. Ici, nous nous asseyons et patientons jusqu’à 21h25, où nous pouvons commencer à embarquer. C’est la dernière ligne droite avant de nous rendre à Séoul. Quelle excitation ! Dans l’avion, il nous est servis notre repas. Là commence notre voyage culinaire !

Après un film sur l’écran du siège, nous tentons de nous reposer, petit plaid sur nos genoux.


L'Amérique latine, quelle belle découverte !

Désormais, c'est la culture asiatique que nous n'allons pas tarder à découvrir ! Séoul, nous voilà !